De jeunes Ukrainiens testent leur première poutine à vie lors du Tournoi de pee-wee
Un plat savoureux !
Ayoye
Alors que la semaine de la poutine avait lieu la semaine dernière au Québec, l'équipe ukrainienne du Tournoi international de hockey pee-wee de Québec ont pu goûter leur première poutine québécoise chez Ashton, rapporte le Journal de Québec.
À l'instar de l'année dernière, les entraîneurs et les joueurs ont été conviés par les propriétaires du restaurant situé sur la rue du Marais. C'est après leur entraînement au PEPS qu'ils sont débarqués en début d'après-midi.
« C’était une superbe visite l’an dernier donc c’était naturel pour nous de récidiver cette année. Ce n’est pas évident ce qu’ils vivent donc ça permet au moins de leur faire vivre une belle expérience pendant qu’ils sont ici », fait savoir Vincent White, directeur marketing pour Ashton, en entrevue au Journal de Québec.
Et malgré le fait qu'ils ne parlaient pas français, beaucoup des joueurs ukrainiens ont fait savoir qu'ils avaient adoré la poutine. Certains d'entre eux en ont même pris une deuxième, et une troisième. Certains joueurs ont également commandé un hamburger et un lait frappé en plus.
« Ils se sont entraînés très fort depuis leur arrivée ici donc c’est leur première journée de congé. On est vraiment reconnaissants de l’invitation d’Ashton encore cette année. C’est un super beau moment pour les jeunes et ça permet de leur faire découvrir notre mets national », explique Olivier Hubert-Benoit, co-responsable de l’équipe, en entrevue au Journal de Québec.
Ces joueurs ont ainsi un peu de réconfort et de pause de la guerre qui dure depuis 2022. Les familles d'accueil de ces jeunes ont également été dépaysés. Jacques Lavallée est l'un d'eux et a accueilli avec sa conjointe les joueurs Ihor Khlivytskyi et Herman Zhyvora.
« C’est une très belle aventure. Ils sont d’une gentillesse, une politesse que j’ai rarement vue. Avoir su plus tôt, on en aurait pris une douzaine. On veut vraiment leur donner le maximum de bon temps que des enfants de leur âge doivent avoir. Notre but est vraiment qu’ils s’amusent et qu’ils oublient ce qu’il se passe là-bas quelque temps », a-t-il expliqué au Journal de Québec.