Une enseignante demande à des élèves de faire le guet pendant qu'elle couche avec un autre élève.
La femme de 26 ans a été arrêtée vendredi dernier.
Ayoye
Une enseignante du Missouri, aux États-Unis, a été accusée d'avoir agressé sexuellement un de ses élèves, alors que ses camarades de classe faisaient le guet.
C'est vendredi qu'une enseignante de mathématiques de 26 ans, Hailey Clifton-Carmack, a été arrêtée.
Au moment de son arrestation, l'enseignante se trouvait à Garden Ridge, au Texas, et comme l'a indiqué le département de police de Garden Ridge dans une publication Facebook, Mme Clifton-Carmack avait fui le Missouri pour éviter des accusations au criminel.
L'enseignante a fait l'objet d'une dénonciation par un élève le 7 décembre dernier. L'élève aurait rapporté la relation entre Mme Clifton-Carmack et la victime à la direction de la Laquey High School.
L'élève aurait aussi présenté des photos montrant que la victime avait des grafignes au dos et selon le témoin, ces grafignes «provenaient de Hailey après que la [victime] ait eu des relations sexuelles avec elle».
Le témoin a aussi ajouté que ces ébats auraient eu lieu dans l’allée de sa maison.
La relation a enfin pu être prouvée lorsque le 22 décembre dernier, les autorités ont obtenu un mandat autorisant à fouiller le téléphone de la professeure.
Le père de la victime, Mark Creighton, a aussi été arrêté pour avoir mis en danger le bien-être de son enfant.
Les autorités ont découvert que le père était au courant de la relation illégale qu’Hailey Clifton-Carmack entretenait avec son fils, mais il n'a pas dénoncé le crime aux autorités.
Le père aurait même reconnu qu'il était au courant des relations que le garçon de 16 ans avait avec sa professeure pendant que ses camarades faisaient le guet.
Enfin, les procureurs ont souligné que le père «connaissait la relation entre son enfant mineur et l'enseignant de 26 ans et, au lieu de rapporter l'information, il a continué à les couvrir et a permis que la relation se poursuive [et] a même permis à Hailey de venir à sa résidence et de voir la victime alors qu'elle était présente».